Pages

mardi 1 avril 2014

LAISSE ALLEZ C'EST UNE VALLS



Ça y est Steve Rogers a accepté du Grand Ordinateur du Monde (S.H.I.E.L.D) de prendre en main le titre de 1er ministre de Sauveur du Monde, et endosse ses habits de lumière et son bouclier anti-peau de banane de Capitaine América.

C'est le point de départ ou presque de Capitaine América : Le soldat de l'hiver d'Anthony et Joe Russo (non pas marié en Angleterre, mais frère), avec Chris Evans, Scarlett Johanson, Robert Redford (et oui), Sébastian Stan, Anthony McKie, Dominic Cooper et bien sûr Samuel L.Jackson.

Alexander Pierce le grand patron de S.H.I.E.L.D sous l'égide d'un cabinet occulte, avait pourtant tout fait pour Nick Fury prenne le poste de second, mais voilà en politique les amitiés ont une fin.

A vouloir s'en prendre à Fury, le SHIELD va déclencher un conflit planétaire d'Afrique en Ukraine (lol) et réveiller le petit soldat de plomb, qui sommeil tranquillement dans sa nouvelle vie pour Steve Rogers.

Je crois que mon scénario est plus limpide que celui du film, car entre 2 explosions et des tas d'effets spéciaux, celui-ci est vide de sens, même si on a le plaisir de voir "La veuve noire" parler à l'oreille de Chris Evans, après les chevaux (2ème fois) et Joaquin Phoenix.

En ce demande aussi que vient faire le pauvre Robert, si ce n'est un cachet pour monter une nouvelle salle à Sundance. J'étais persuadé (à tort) que c'était le genre d'acteurs à ne pas s'abaisser à ce type de rôle, mais après avoir bu la tasse avec "All is Lost", il fallait obtenir une place très chère pour PSG/Chelsea d'où le cachet.

Le pauvre Chris Evans n'est vraiment pas charismatique, rien à voir avec ses confrères Stark, et Wolverine. Reste le personnage du Soldat de l'Hiver intéressant (dans le style Joker) mais pas de révélation surprenante sur son identité et les Crashs très bien explosant.

Note : 12.30

La place Beauveau était vide pendant 2 jours, les espions du MI5 et MI6 dans Closed Circuit de John Crowley avec Eric Bana, Rebecca Hall, Ciran Hinds et Jim Broadbent, vont en profiter pour manipuler un immigrant afghan ou turque et son avocat, l'accusant d'un attentat en plein Londres avec plus de 120 morts (on est plus à cela près), les anglais restant avec leurs ennemies venant de la guerre du golfe.

Efficace, mais tellement convenu, comme si on avait vu un nouvel épisode de MI5, plus machiavélique que ce film.

Eric Bana et Rebecca Hall ne peuvent rien faire, déjà que ce n'étais pas des acteurs hors du commun mais ils sont mou du genoux, et sont pas près de courir après Steve Rogers II (Capitaine Britannia).

Nous en France, notre Hollandais à mis pour sauver la France (Capitaine Francia) un ex-espagnol, il n'y a pas que le Quatar qui prend des étrangers (lol).

Note : 10,90


Gérontophilia de Bruce la Bruce avec Pier-Eric Lajoie et Walter Borden.

Qui un jour aurais pu penser que je chroniquerais, un film de Bruce la Bruce (L.A Zombie, Fucking Différent, Otto, sans compter tous ses films X), un des maîtres du Underground dans la lignée de John Waters ou Russ Meyers.

Mais surprise Bruce s'est assagi, et nous histoire une belle histoire et fable sur un amour impossible.
Bien sûr, Bruce reste provocateur en appelant son film "Gérontophilia" qui est l'amour que porte une personne jeune pour une personne agèe, comme dans "Harold et Maude" et tous les films d'Eddie Barclays.

Le Gérontophile c'est Lake un garçon de 18 ans qui n'est pas amoureux d'une personne âgée, mais de leurs corps, de leurs rides, de leurs plis, de leurs plaies, voir de leurs moisissures.

Après l'introduction de la langue dans la bouche de Lake par sa copine (on dirait un mixer à Huître), Lake découvre ses pulsions et les autres quand il va avoir une érection en faisant du bouche à bouche à un vieux qui allaient se noyer. Gênant pour le garçon.

Comme il travaille dans une maison de retraite, c'est comme si on mettait un diabétique dans un magasin de bonbon, le garçon va choisir sa proie d'amour et de sexe de M.Peabody, vieux ou vielle tante de 82 ans distingué et classieux.

Comme Thelma et Louise, ils vont s'échapper de la maison de retraite comme un jeune couple plein de boutons, mais ici plein de crevasses, et vivre leurs amours en secrets, enfin presque, car Lake aime se montrer avec lui dans des boites de provinces canadiennes remplis de minet près à mettre la main sur M.Peabody.

C'est drôle enlevé, et à part les 2 premières minutes, on passe un bon moment bien sage avec plein de tendresse, avec seulement un bout de fesse de Lake, et kiki très Riquiqui et froissé de M.Peabody.

Walter Borden pas connu en France, est un grand acteur de Théâtre Canadien proche de la mouvance Black Panthers.

Quand au jeune garçon Pier Eric Lajoie dont c'est son premier film, il a attiré l'oeil de Gus Van Sant (mais non il y a pas de sous-entendu) et de Josée Dayan. Je suis aussi étonné par la ressemblance avec Rémi Laurent jeune acteur français (A nous les petites anglaises), mort trop tôt en 1989 à 32 ans.

Pier Eric Lajoie


Rémy Laurent

Note : 15.00

DEMAIN DEPART POUR LES FESTIVAL DE BEAUNE DU FILM POLICIER, COMPTE RENDU ET TOUT ET TOUT A MON RETOUR.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire