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mardi 30 septembre 2014

A PORTRAIT OF JAMES DEAN de MATTHEW MISHORI



Un coup de coeur, un coupe de foudre, un coup d'amour, un coût de pas assez, voilà ma première impression de Joshua Tree 1951 : A portrait of James Dean de Matthew Mishori avec James Preston, Dan Glenn et Dallah Rains.

Dans la vie on est Fan (Di Caprio, Ezra Miller ...), mais on dessus de tout cela, j'ai une idole depuis ma plus profonde jeunesse "James Dean" que je vénère par dessus tout.

Malheureusement ce film ne sortira pas en salles, mais vous pourrez le voir en DVD dans votre vidéo-club ou en VOD le 18 février 2014.

Depuis toujours, j'attendais un film qui raconte le James Dean, tel que je l'imaginais avec ses lourds secrets et son indispensable talent.

L'histoire du film raconte qu'une période de James Dean , 1951 ou le jeune acteur cachetonne dans de mauvaise Pub, ou dans des télés-films au fond de l'écran à gauche ou à droite.

On peut s'apercevoir dans ce film, toutes les fissures de l'icône, sensible, romantique, brute ou superficiel, sur de son talent, et prêt a tout.

Prêt a tout oui, mais étant sur de son talent artistique, il refuse les desiderata de tout ce que compte Hollywood d'Homosexuels, pour obtenir des rôles, c'est son côté rebel, qu'il montrera dans ces 3 films.

Car le film défini, une approche de la sexualité de Dean, qui était souvent employée dans les livres, mais jamais au cinéma, Dean pour le réalisateur est un obsédé sexuel pratiquant certaines pratiques déviantes, et couchant avec le tout Hollywood, mais uniquement pour son plaisir, une sorte de Gigolo avant l'heure.

Le film dans un noir et blanc esthétique et crépusculaires, nous entraîne entre cours de théâtre et conquêtes masculines sans faux semblant, avec sans attaché de presse et directeur de Studio prêt à lighté son parcours.

La narration entre passé et futur, l'esthétisme m'on fait prendre un pied incroyable, les photos de Dean que l'on a en général sont en Noir et Blanc, donc le film nous laisse dans notre imaginaire.

Sans compter la Bande-Originale excellente entre Jazz (Dean jouait du Saxo) et du Blues d'excellente qualité.

James Preston ne ressemble pas à James Dean, mais on s'en fout car il a pris les tiques de notre héros, les allures et sa beauté exceptionnelle à l'époque.

Une question reste en demeure, son premier amant en 1951 appelé ici son "co-locataire" allait devenir une vrai vedette d'Hollywood, alors qu'il y croyait plus au départ de James Dean de sa vie.

J'ai comme un manque, j'aurais aimé voir ses cours chez Strasberg, sa rencontre avec Brando, Newman ou Minéo, et le combat de coq entre lui et Rock Hudson sur Géant.

Mais à l'arrivée, je suis totalement amoureux du film, on montrant pas un film oxygéné, et même si c'est l'avis d'un réalisateur, on est plus proche de ce qu'on à lu, de ce qu'on nous a montré jusqu'ici, même si on peut pas dire qu'on a été inondé de film sur l'idole.

Pour ce qui aime Dean , courrez dans votre Vidéo-Club ou achetez le DVD.

Note : 17.20

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